Des villes grises et brunes… au lieu de vertes
Pour une première fois, Statistiques Canada a étudié l’évolution de la couverture verte de grandes villes canadiennes. Malheureusement, elles deviennent de plus en plus grises et brunes au lieu de vertes. Les causes identifiées seraient l’urbanisation, la sécheresse et l’infestation d’insectes comme l’agrile du frêne. Des causes qui se renforcent entre elles et se perpétuent.
Du point de vue de la santé des populations cela représente un enjeu majeur, puisque les villes vertes favorisent la lutte aux ilots de chaleur et l’élimination de polluants atmosphériques tout deux néfastes pour la santé, sans aborder les atouts pour la santé mentale que l’on reconnait au fait de vivre avec un accès à la nature. L’étude indique que « la proportion de zones vertes dans les centres de population en 2019 était inférieure à celle de 2001 ».
Pour consulter l’article de La Presse résumant les résultats de l’étude, suivre ce lien
Pour consulter l’article scientifique sur Statistiques Canada, suivre ce lien
Février 2022